Le mot vietnamien "di cảo" se traduit en français par "œuvre posthume". Il désigne généralement une œuvre littéraire ou artistique publiée ou révélée après la mort de son auteur. Cela peut inclure des livres, des poèmes, des peintures, ou d'autres formes d'art qui n'ont pas été publiés ou exposés de leur vivant.
Usage de base : - "Di cảo" est utilisé pour parler d'œuvres que l'on découvre après la disparition d'un artiste. Par exemple, si un écrivain a laissé des manuscrits inédits, ceux-ci peuvent être considérés comme ses "di cảo".
Dans un contexte plus large, "di cảo" peut également se référer à l'héritage d'une personne, pas seulement limité aux œuvres artistiques, mais aussi à ses idées, ses enseignements ou son impact sur la société.
Bien que "di cảo" soit principalement associé aux œuvres posthumes, il peut aussi impliquer une notion de mémoire et de continuité de l'œuvre d'un artiste, soulignant l'importance de ce qui perdure même après la mort.
Le terme "di cảo" est donc riche et polyvalent, essentiel pour parler de l'héritage artistique et littéraire vietnamien.